Beauté et mystère des fesses

Ah les fesses ! La fesse a toujours troublé, fasciné et a du faire face à des diktats religieux ou à des modes étranges pourtant notre postérieur suscite depuis la nuit des temps intérêt, phantasme et attirance. Apprenons-en un peu plus sur cette partie charnue du corps vénérée par les artistes, levons le voile sur ces jolies dunes la plupart du temps cachées… enfin presque !


Les fesses c’est quoi ?

Le mot “fesse” vient du latin fente ou fissure. Ces deux adorables masses charnues sont situées au niveau de la partie postérieure de notre bassin et sont séparées par le pli interfessier dont l’anus termine la course. Nos fesses sont la preuve criante de notre évolution en tant que “bipèdes” ! Car oui, si elles sont aussi arrondies et visibles c’est parce que nous avons adoptés la station “debout” et plus nous marchons, plus les muscles glutéaux qui les composent travaillent ! Sans compter que ces deux coussinnets faits de muscles et de tissus adipeux nous sont bien utiles quand nous décidons de passer en position assise.

Un florilège de surnoms et de formes.

Les fesses se sont vus affublées de quantités de petits noms ! Commençons par les plus communs ; derrière, postérieur, cul, popotin Beaucoup d’appélations ont des connotations drôles et/ou argotiques ; croupe, croupion, miches, pétard, fouettard, jouflu… ou carrément hyper sérieuses et plus anciennes du genre séant, siège… Faisons l’impasse sur les surnoms les plus chauds que vous trouverez facilement sur la toile pour retenir cette image pleine de poésie comparant nos chères fesses à la lune ou à la pleine lune : Ne dit-on pas Montrer sa lune !

Aucune paire de fesses n’est semblable à une autre ! Leur taille et leur forme varie d’un individu à un autre en fonction de son sexe, de son âge, de ses gênes et de sa morphologie. Le fessier des femmes est plus rebondi que celui des hommes à cause du taux plus elevé d’oestrogènes. Les hommes ont tendance eux à stocker plus de tissu adipeux au niveau de l’abdomen. Profitons des jolies formes de nos fesses dont nous a doté Dame Nature et cessons de les trouver trop plates ou trop proéminentes, ne nous lassons pas de ces courbes qui nous accompagnent chaque jour car … tout comme ces messieurs nous verront nos fesses perdre peu à peu du galbe en vieillissant ! Nous n’y pouvons rien sauf si on décide de ne jamais s’arrêter de muscler son popotin !

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Le postérieur dans l’histoire et l’Art

Les fesses n’on pas toujours eu le premier rôle et parfois même pas de rôle du tout : Au moyen âge elles sont assimilées à la saleté et à l’obscénité, religion oblige ! La nudité est reliée au péché et dans les représentations picturales quand les gens sont peints nus ils le sont de face avec des corps figés, froids et tristes, souvent punis ou chassés du paradis. Si on montre ses fesses dans les fêtes paysannes pour s’amuser, on le fait aussi pour chasser le Diable car l’église a décrété que Satan était une bête sans fesses, et certains religieux lèvent la soutane pour faire fuir le démon !

Dans la grèce antique, c’est le culte du corps “parfait” qui permet de mettre à nu le derrière. Les sculpteurs dévoilent des oeuvres où les postérieurs, drapés ou non, sont pleins et harmonieux pour rendre grâce à la beauté des Dieux et des Déesses. Les idéaux de beauté sont posés : La fesse est musclée pour le David de Michel-Ange et pulpeuse pour l’Aphrodite de Praxitèle. Musculature et force pour l’homme, grâce et volupté pour la femme.

L’art va mettre en avant le corps et la fesse grâce à la sculpture et à la peinture.
Scènes bibliques ou scènes mytholigiques, les artistes prennent quelques libertés avec le nu puisque l’art reste de l’art, autre ment dit du « beau » et ne représente en rien une incitation à la débauche !…

Au XVII et XVIII, les peintres vont coucher sur leurs toiles des fesses voluptueuses et des corps bien en chair comme le fera François Boucher avec « l’Odalisque » (image présentant l’article).  Rubens et Rembrant seront des maitres en matière de fessiers bien en chair.

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Les Baigneuses de Rubens
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La grande Odalisque d’Ingres.

Puis arrive la période du réalisme où les artistes de tout bord dans leur quête de réalité vont représenter les fesses telles qu’elles sont : imposantes ou minces, roses, bleuies ou blafardes, rondes ou cubiques, harmonieuses ou biscornues, celluliteuses ou osseuses, vieilles ou jeunes… Vallotton, Matisse, Egon Schiele dévoileront des postérieurs criant de vérité et non plus seulement des symboles et attributs de séduction .

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Etude de fesses de Vallotton
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Les baigneurs de Cézanne

Le fessier : parfois malmené en fonction des modes

Et oui, le popotin subit lui aussi le diktat des modes ; après avoir vanté la beauté des silhouettes fines et presque “garçonnes”, aujourd’hui la mode est aux fesses très très généreuses. Sur les réseaux sociaux certaines stars font tout pour le mettre en avant et ont souvent recours à la chirurgie esthétique pour faire grossir leur postérieur. Depuis quelques années la chirurgie esthétique à le vent en poupe et on a de plus en plus recours aux opérations pour faire gonfler son derrière.

La forme des vêtements s’y colle : terminé les jeans taille basse, la tendance est aux pantalons taille haute qui moulent les rondeurs du fessier et les remontent sans les écraser. Leggings et pantalons sont désormais “push-up” pour galber davantage nos attributs. Au même titre que les seins, la fesse prend du volume.

Modeuses, influenceuses le repètent à longueur de temps ; pour être belle et sexy, il faut une taille de guêpe, des hanches en amphore et un “boule” surdimensionné alors les conseils pleuvent pour permettre à toute une génération de femmes très jeunes ou moins jeunes de devenir des bombes sexuelles ! Au programme séances de fitness intensives, cours de body sculpting à gogo et visionnage de vidéos prévues à cet effet sans oublier les crèmes et huiles de toute sorte qui viennent parfaire vos efforts. On vient de franchir un cap dans la déraison avec la vente de médicaments destinés à faire grossir le postérieur… Jusqu’où ira-ton pour satisfaire cette mode qui consiste encore à plaire aux autres, quoi qu’il en coûte… avant de se plaire à soi-même !


Saviez-vous que…

Voici quelques termes et informations propres au fessier. Certains sont connus, d’autres moins.

Callipyge : adjectif qui vient du Grec. (Kallos beauté et pugê fesses)
Terme utilisé pour définir une statue qui a de belles fesses ou une femme qui possède des fesses plantureuses.

Pygophilie : attraction excessive pour les fesses et essentiellement les grosses fesses.

Fossettes de Vénus ou fossettes d’Apollon : petits creux qui apparaissent parfois dans le bas du dos et qui s’apparentent à des fossettes. Du fait de leur symbolique érotique on les a associé à Vénus pour les femmes et à Apollon pour les hommes.

Muscle fessier : Le grand fessier est le muscle le plus puissant du corps humain. Nous le travaillons en permanence du fait de notre bipédie.

Légende des fesses d’Aphrodite : Selon la légende deux jeunes paysannes grâce à la beauté de leurs fesses parvinrent à épouser deux jeunes hommes riches. Elles voulurent rendre hommage à Aphrodite en faisant édifier une statue en son honneur qu’elles nommèrent “Aphrodite callipyge” : Aphrodite (ou Vénus) aux belles fesses.

Le Mooning : Montrer ses fesses à la lune. Le mooning à l’origine consistait à montrer ses fesses face à quelque chose ou à quelqu’un, en signe de mécontentement, d’insulte, de colère ou de moquerie. Les religieux pratiquaient le mooning pour chasser le Démon, les soldats pour se moquer de l’ennemi, les paysans pour railler les seigneurs.

Face cachée : Nos fesses sont considérées comme la face caché de notre corps, notre deuxième visage, celui qu’on ne voit pas, d’où le surnom de lune.

Selfesse : action de prendre en photo ses fesses.


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Le pouvoir érotique des fesses

Objet de fantasmes, les fesses ont un pouvoir de séduction et d’excitation incroyable. Depuis la nuit des temps, elles attirent les regards, font rêver et suscitent envie et convoitise. Elles prennent des positions langoureuses, se glissent dans des tenues affriolantes pour jouer avec les nerfs de celui ou de celle qui les contemple. Bref les fesses s’habillent de dessous et de chaines de corps infiniment sexy pour sublimer leurs courbes et leurs rondeurs.

Jeu de cache-cache troublant

Hormis dans l’intimité ou quand la saison nous convie à fréquenter les plages de sable fin, les fesses sont en permanence vêtues, donc cachées à la vue. Alors l’imagination n’en finit pas de vavagonder en découvrant la cambrure de reins époustouflante de cette femme qui vient de traverser la rue ou de cet homme à vélo dont le jean moule divinement le fessier. Le mystère est l’ingrédient numéro 1 pour exalter nos sens.

Dentelle et satin pour les habiller et les déshabiller

String, shorty, tanga, culotte… les dessous qui couvrent nos fesses prennent de multiples formes et proposent des matières douces comme la dentelle, le satin, la soie. Prendre soin de son popotin, l’habiller de lingerie fine pour le plaisir de prendre soin de soi et pour le plaisir de se rendre désirable est rentré dans notre culture.

Une zone erogène intarrissable

Nous nous sommes toutes amusées à nous cambre lascivement devant le miroir ou à prendre des positions suggestives pour susciter chez l’autre un désir puissant. Nos fesses aiment être caressées, embrassées, léchées, pétries, enlacées… Que l’on aime les caresses douces ou appuyées sur nos jolies dunes ou que l’on soit une fan de l’art de la féssée, que l’on soit ou pas un ou une adepte de l’anulingus ou de la sodomie, notre postérieur est une source inépuisable de plaisirs. L’essentiel est d’écouter notre corps et ce qu’il aime.

Des chaines bijoux pour erotiser la rondeur de nos fesses

Sylvie Monthulé a conçu des bijoux de taille pour orner la cambrure des reins et caresser le fessier. Ces bijoux de corps élégants et troublants ont été imaginés pour être portés sur le corps nu afin d’en sentir tous les effets érotiques : La femme qui porte un bijou pour fesses va sentir avec délice les caresses du pendentif coquin qui s’insinue entre les deux courbes de son fessier. Des pendentifs audacieux, des gouttes pleines, des perles s’agitent et glissent dans le pli fessier. Le corps se trouble, frissonne.

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Quel bijou pour fesses choisir ?

Rendez-vous dans la rubrique bijoux taille pour découvrir la sélection de parures pour fesses en version or et argent. Toutes sont réglables de la taille S à la taille XXL et en mesurant votre tour de taille vous pourrez facilement choisir celle qui vous convient. Dans la dernière collection chaine de fesses jardin secret et bijou fesses rose d’amour sont à l’honneur, mais beaucoup de modèles vous sont proposés : chaine de fesses queue de sirène, chaine de taille suculpture pénis, chaine taille reins le souffle d’Isis ou encore bijou taille ailes sexy rouge, etc… Chaque création est dédiée à la sensualité des fesses féminines.

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